Débauche sexuelle avec une nana qui s’assume dans cette luxure au téléphone
Salut, je m’appelle Valentina et je suis une jeune femme sulfureuse, prête à partager avec vous des moments de débauche sexuelle et de plaisir intense
par téléphone.
Laissez-moi vous décrire mon physique envoûtant.
Tout d’abord, mes cheveux bruns avec des reflets auburn cascadent en une chevelure soyeuse jusqu’au creux de mes épaules, offrant une vue imprenable sur ma poitrine généreuse.
Mes yeux, d’un brun profond avec des nuances vert-gris envoûtantes, vous captiveront dès le premier regard.
Aussi ma bouche pulpeuse et sensuelle ne demande qu’à être embrassée et à être mise au travail de la fellation.
Ma silhouette fine et élégante est mise en valeur par des seins fermes et galbés, surmontés de petites aréoles et de mamelons aguicheurs qui ne manqueront pas d’attirer toutes les pensées sexuelles.
Cette touche de féminité irrésistible renforce encore mon côté provocateur.
Comme le maquillage savamment appliqué ainsi que mes ongles manucurés avec soin complètent cet arsenal de séduction pour cette débauche sexuelle.
Enfin, pour couronner le tout, je revêts des tenues osées et suggestives qui ne laissent rien au hasard, révélant subtilement les courbes de mon corps de rêve.
Alors prêt à succomber à la tentation ? Laissez-vous emporter dans mon univers de plaisir et de débauche sexuelle en relation par téléphone…
clic appel direct
Ce fameux contrôle de billets
Ce jour-là, en rentrant de vacances en train, je me perdais dans mes rêveries, le visage collé à la fenêtre de mon compartiment.
Puis le contrôleur est alors venu vérifier nos titres de transport.
Réalisant que mon téléphone était éteint et que je n’avais pas imprimé mon billet, j’ai expliqué ma situation à ce charmant agent aux yeux bleus et à la peau bronzée, dont le regard perçant me faisait rougir malgré son masque(et oui covid !mdr).
En fait il m’a demandé d’essayer de recharger mon portable puis de le rejoindre dans le wagon des contrôleurs. Mais mon téléphone semblait avoir rendu l’âme.
Déconcertée, je me suis dit que je pourrais peut-être user de mes charmes auprès de ce beau contrôleur.
Je l’ai donc rejoint dans sa cabine, où il m’a invitée à m’asseoir face à lui après avoir fini de contrôler les passagers. Il a alors fermé la porte coulissante.
« Avez vous réussi à charger votre votre téléphone rose? »
« Non, désolée, ai-je expliqué, gênée. Et le contrôleur m’a lancé un regard bienveillant.
« Pas de problème, gardons ça entre nous. Mais n’oubliez pas la prochaine fois ! » m’a-t-il répondu avec un clin d’œil.
Rassurée, je suis restée assise, désireuse de poursuivre notre discussion.
En fait il m’a interrogée sur mes vacances, et j’ai répondu avec plaisir.
Peu à peu, notre échange a pris une tournure plus légère, presque en mode flirt, voir même à la débauche sexuelle.
« Pourriez-vous baisser votre masque ? J’aimerais voir votre visage, » m’a-t-il demandé, les yeux brillants.
Rougissante, j’ai obéi, dévoilant mes traits encadrés de boucles blondes. Nos regards se sont croisés, chargés de tension.
« Vous voulez voir autre chose ? » ai-je lancé avec audace, en écartant les jambes.
Puis pris au dépourvu, le contrôleur a jeté un coup d’œil sous la tablette, là où j’avais préparé une surprise au cas où il voudrait me verbaliser.
En fait j’avais retiré ma culotte. Sous la table, je caressais doucement ma sexe. Son regard, fixé sur moi, me rendait toute fiévreuse.
Alors, d’un geste tendre, il a rejoint mes gestes. Nos doigts, s’entremêlant, exploraient ensemble les lèvres de mon sexe.
Électrisée, je me perdais dans la contemplation du paysage défilant, tandis que nos caresses s’intensifiaient au tour de mon clitoris.
Mais prise d’une soudaine envie, je me suis glissée sous la table pour le satisfaire par une fellation.
D’ailleurs sa virilité, ferme et douce, m’emplissait d’un désir de débauche sexuelle. Tout au long du trajet, nous nous sommes ainsi chauffés mutuellement, frôlant l’extase.
Enfin arrivés, nous nous sommes hâtés de gagner un endroit plus intime, au sous-sol de la gare.
Là, loin des regards, il a pu ôter son masque, dévoilant un visage encore plus séduisant que dans mes rêves.
Son uniforme mettait si bien sa silhouette en valeur que je ne pouvais plus résister à l’envie qu’il me prenne.
Donc c’est avec enthousiasme, je repris sa verge entre mes lèvres, admirant avec délice son visage ravi par le plaisir que je lui offrais par cette pipe goulue.
Bientôt, nous nous sommes retrouvés nus, excités par nos caresses et par l’endroit caché où la chaleur était intense.
Je me suis allongé sur le canapé et il souleva mes jambes pour me prendre enfin!.
Son bite glissa en moi facilement, tant j’étais lubrifiée. Il entama d’abord des mouvements lents, comme pour m’accoutumer à sa présence.
Mon corps tremblait de désir et je le suppliais d’accélérer.
Et Sa queue glissait encore très doucement en moi et, la bouche contre mon oreille, il me parlait — ce qui a encore plus embrasé mon corps : « Tu veux que j’accélère ?
Tu veux que je te baise ?
Tu le veux vraiment ?» Je gémissais que oui.
Ensuite il a alors commencé à me pilonner avec fougue.
Ainsi mes jambes autour de lui, il me soulevait presque pendant qu’il me criblait de coups de bite.
D’ailleurs ma chatte suintait de mouille et surchauffait dans les bruits humides de notre baise, mon corps collant de sueur glissait contre le sien…
C’était une étreinte torride. Quand nous étions à deux doigts de jouir tous les deux, j’ai voulu qu’il me prenne en levrette.
Je me suis retrouvée coudes à terre, fesses en l’air, toute à lui.
Ensuite il m’a prise avec passion en me faisant aller et venir sur sa queue bien raide, prenant mes hanches et dirigeant tout cette débauche sexuelle entre mes cuisses…
J’étais agitée de spasmes et la montée de mon orgasme est partie de la sensation de sa queue en moi pour enflammer mon clitoris, mon ventre, mes fesses.
Et je me suis cambrée pendant qu’il me bâillonnait de sa main pour étouffer le cri de ma jouissance.
Mon orgasme parcourait mon corps, du contact de sa main sur ma bouche jusque dans mon sexe.
Finalement lui aussi a joui en gémissant à mon oreille, presque couché sur mon dos comme une bête, se laissant transporter par son propre orgasme.
J’ignorais tout de lui, et pourtant cet échange m’avait donné l’impression de le connaître intimement.
Cette aventure m’avait transportée, j’étais fatiguée.
Si bien que j’ai rassemblé mes affaires et le beau contrôleur a remis son uniforme en me disant qu’il m’enverrait le détail de ses prochains voyages, car il habitait dans une autre région.
Depuis, je ne pense qu’à lui et mes fantasmes sont peuplés de wagons et de billets de train oubliés.